Contre certains discours réducteurs, contre l’image ternie et fade d’un chef-d’oeuvre, contre une certaine idée de la culture (ou pas d’idée du tout), moi, bibliothécaire en Amikuze, crée un comité de soutien à la Princesse de Clèves, qui décrit le sentiment amoureux avec une justesse confondante, et qui n’est que le premier roman moderne de notre littérature, et que l’un des premiers romans d’analyse. Mais pensez, le héros c’est une femme (qui se prend la tête parce qu’elle est tombée amoureuse d’un autre que son mari) alors déjà que c’est chiant, faut pas pousser.
A quand Marc Lévy au programme du bac ?
Je l’ai lu il y a 15 ans, j’en ai un très bon souvenir, et j’y retourne de ce pas.
Non, mais !
Lisez et faites lire La Princesse de Clèves ! (BF)
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